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Roni Alter : "Je suis fan de Randy Newman"

Dernière mise à jour : 5 févr. 2019

La chanteuse israëlienne ensoleille l’hiver avec Be her child et déverrouille son smartphone pour artisterevelation.




" Je ne lis que les grands titres des quotidiens. J’aime les résumés, les formats courts, y compris en musique."

Quels films ou séries tournent sur votre smartphone?

J’ai vu mille fois chaque épisode de Friends, et je me les repasse sans cesse. Grâce à Netflix, tellement pratique pendant un voyage en train, j’ai visionné dernièrement « Quincy », un documentaire sur Quincy Jones. J’ai adoré.


Un jeu?

Oui, Trivia, des questions de culture générale pour être plus intelligente. Mais pas de jeux vidéos, c’est pas mon truc.


Quel chanteur avez-vous ajouté récemment sur votre playlist?

J’ai découvert Barbara Carlotti grâce à la pièce Hate, de Laetita Dosch, elle a écrit une chanson magnifique pour ce spectacle et j’ai acheté tout de suite son dernier album, Magnétique.


La dernière appli sur laquelle vous avez cliqué?

C’est la page Facebook du concert en hommage à Randy Newman, auquel j‘ai participé à Tel Aviv, le 30 novembre. Randy Newman est un génie qui arrive à faire rire et pleurer dans le même morceau. J’ai téléchargé tous ses disque sur mon smartphone et je collectionne ses vynils, c’est mon côté vintage - je chine aussi des vêtements et des objets. Mon père qui est compositeur et chanteur reprenait ses chansons, et petite, je croyais qu’il les avait écrites. Nous avons enregistré Real Emotional Girl tous les deux, le clip va être dévoilé prochainement.


Une appli préférée?

After right, c’est pour photoshoper. En général, mes portraits sont réalisé par mon mari, Amit Israeli (@amitisraeli1), il est photographe de mode.


L’appli que vous utilisez non-stop?

Ratp. Je suis venue à Paris suivre un stage de chant avec Haïm Isaac. Je devais rester une semaine, cela fait six ans et demi.


Des journaux en ligne?

Ah, je ne lis que les grands titres. J’aime les résumés, les formats courts, y compris en musique. Je préfère me plonger dans un livre. Je viens de finir The Seven Good Years: A memoir, de Edgar Keret, un auteur israëlien qui raconte les sept années qui séparent la naissance de son fils de la mort de son père.


Vos actus?

Be her child, mon album, sortira le 15 février. C’est un disque concept, l’histoire de ma vie, sans filtre et en anglais. Si j’étais resté à Tel Aviv, je n’aurais pas pu l’écrire. Le thème est sombre, mais la musique légère et énergique.







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